Mwana Quand tu vois le résultat des dernières séquences éléctorales, c'est surprenant ...

Le cocktail est parfait...droitisation des esprits par la non régulation des médias aux mains d oligarques, un paysage politique pathétique et pitoyable et un système politique qui ne fonctionne plus

Ah oui et une paupérisation en cours a cause du narratif des 30 dernières années, la mondialisation heureuse

Mwana Et Guillaume Erner qui invite un israélien ancien militaire

Quelle horreur ces journalistes qui invitent qui ils veulent! 😆

    Totor z deux doigts de découvrir que des journalistes pro palestinien sont black liste sur les grands médias...

      kimo boniface... invité nul part...alors que c est un spécialiste de la région....c est un fait il est nul part...ça fait 20 ans qu il subit un procès en antisémitisme dégueulasse...

      On est abreuvé depuis toujours par des pro Israëliens...et de tant à autre souppudre par un pro Israël modéré et bien sûr un mec de lfi qui va déraper histoire de bien baliser le narratif...

      Ça fait 20 ans que toutes les voix pro palestiniennes sont au mieux décrédibilisée au pire totalement écarté des débats...

      Ça se réveille depuis quelques temps...puisque même les sans couilles ultimes commencent à se dire que c est pas super un génocide...tout ça avec une précaution qui vire en fin de compte a une validation des theses antisémite sur les médias contrôlés

        le midi il passe souvent sur france info "l'info s'éclaire "

          pezronf tout ça avec une précaution qui vire en fin de compte a une validation des theses antisémite sur les médias contrôlés

          Par qui?

            Les critiques concernant la sous-représentation des journalistes pro-palestiniens ou des voix palestiniennes dans les médias français se concentrent sur plusieurs points essentiels. Ces critiques sont formulées par des organismes comme Acrimed, l'Agence Média Palestine, des associations de solidarité, ainsi que par certains universitaires et observateurs indépendants.
            Voici les principales critiques :

            • Invisibilisation des Palestiniens et de leurs souffrances :
              • Absence de témoignages directs : Les médias français sont souvent accusés de ne pas donner suffisamment la parole aux Palestiniens vivant sous occupation, aux habitants de Gaza, ou aux réfugiés. Leurs expériences, leurs récits quotidiens, et leurs souffrances sont jugés largement absents des reportages, ce qui empêche le public français de comprendre la réalité de leur situation.
              • Minimisation des violences subies : Les critiques estiment que les violences exercées contre les Palestiniens, notamment les bombardements, les destructions d'infrastructures, les expulsions, ou les violences des colons, sont souvent minimisées ou passées sous silence par rapport à la couverture des violences subies par les Israéliens.
            • Manque de contexte historique et politique :
              • Décontextualisation du conflit : Le conflit est souvent présenté comme une simple série d'affrontements sans lien avec l'occupation, la colonisation, le blocus de Gaza, ou les résolutions internationales. Les critiques dénoncent une approche qui fait commencer l'histoire au moment des attaques, sans expliquer les causes profondes de la résistance palestinienne.
              • Ignorance de l'occupation : Le terme "occupation" est souvent absent ou minimisé dans les récits médiatiques, alors qu'il est central pour comprendre la situation palestinienne.
            • Biais terminologique et sémantique :
              • Langage euphémisant : Les médias français sont critiqués pour l'utilisation de termes qui euphémisent la réalité de l'occupation ou des actions israéliennes (ex: "incidents" au lieu d'"attaques", "ripostes" au lieu de "bombardements massifs").
              • Asymétrie des termes : La terminologie employée pour décrire les actions palestiniennes ("terrorisme", "militants") et israéliennes ("défense", "frappes ciblées") est souvent perçue comme déséquilibrée, légitimant d'un côté et criminalisant de l'autre.
              • Absence de "colonisation" ou "apartheid" : Des termes comme "colonisation" ou "apartheid", utilisés par des organisations internationales de droits humains (Amnesty International, Human Rights Watch) pour décrire certaines politiques israéliennes, sont rarement employés ou font l'objet de vives controverses dans les médias français, contrairement à une utilisation plus fréquente dans d'autres pays.
            • Accès limité à Gaza et dépendance aux sources israéliennes :
              • Restriction d'accès : Le blocus de Gaza par Israël rend l'accès très difficile pour les journalistes étrangers, ce qui limite leur capacité à couvrir directement la réalité sur le terrain et les rend dépendants de sources extérieures ou de journalistes locaux, dont la sécurité est menacée.
              • Prépondérance des sources israéliennes : En l'absence d'accès direct, les médias français sont souvent accusés de s'appuyer majoritairement sur les déclarations et les porte-paroles israéliens (militaires, gouvernementaux), ce qui crée un déséquilibre dans l'information.
            • Autocensure et pressions :
              • Pression des lobbys : Des critiques suggèrent l'existence de pressions (politiques, économiques, de groupes de pression) qui influenceraient les lignes éditoriales et encourageraient l'autocensure sur le sujet.
              • Crainte d'être accusé d'antisémitisme : Le débat sur le conflit israélo-palestinien en France est particulièrement polarisé, et toute critique d'Israël peut rapidement être assimilée à de l'antisionisme, voire de l'antisémitisme, ce qui pousse certains journalistes et rédactions à une grande prudence, voire à l'autocensure.
            • Manque de diversité dans les plateaux et analyses :
              • Les critiques dénoncent une homogénéité des voix invitées sur les plateaux de télévision ou de radio, où les experts et commentateurs ayant une perspective pro-palestinienne sont moins nombreux ou moins mis en avant que ceux ayant une vision plus alignée avec le discours officiel israélien.
                En somme, ces critiques visent à mettre en lumière un déséquilibre perçu dans le traitement médiatique, qui entraverait la compréhension globale du conflit par le public français et renforcerait une narration unilatérale au détriment de la perspective palestinienne.

              Mais surtout : où ?

              Par contre la validation des thèses antisémites par les média controlés par le lobby juif français, elle est pas mal. On devrait la noter quelque part

                Nukem non c est l l'inverse...le comportement de certaines chaînes valident le fait que non, il n y a pas égalité de traitement...donc que les juifs contrôlent les médias...

                J ai mis un pavé au dessus, je veux bien discuter dessus

                  pezronf Si j'ai envie de discuter avec Gemini, je l'ai sur mon téléphone

                  Le flood IA, c'est le nouveau point Godwin en ce qui me concerne : Fin de la discussion

                    Nukem wow ! " L ia c est que des conneries"

                    ♥️

                    Belle fuite face a des points sur lesquels débattre 👍🤙

                      pezronf Au moins comme ça tu arrives à avoir le dernier mot

                      Bisous

                        pezronf c'est pas parce que chat GPT te sort un laïus qui correspond à ce que tu dis que c'est vrai.

                          pezronf Combat d'IA

                          Franchement, il faut arrêter avec ce discours caricatural qui voudrait que les médias français soient sous influence, verrouillés par des lobbys, et totalement sourds aux souffrances palestiniennes. Cette rhétorique, largement relayée par des groupes militants pro-palestiniens, ne relève pas d’une critique honnête du traitement médiatique, mais d’une tentative à peine voilée d’imposer une lecture unique du conflit israélo-palestinien.

                          Les journalistes français seraient pro-israéliens ? Sérieusement ?
                          Ce genre d’affirmation ne tient pas la route une seconde. Il suffit d’ouvrir n’importe quel journal ou d’allumer n’importe quelle chaîne d’information pour entendre des accusations contre la politique israélienne, des appels au cessez-le-feu, des reportages sur les conditions de vie à Gaza, des interviews de représentants palestiniens ou de militants anti-israéliens. Où est cette prétendue chape de plomb ? En réalité, le prisme dominant est souvent celui de la victimisation palestinienne, parfois jusqu’à l’aveuglement volontaire face à la complexité du conflit.

                          L’obsession des “termes interdits” : un piège militant
                          “Colonisation”, “apartheid”, “occupation”... On nous reproche de ne pas les utiliser assez. Mais ces mots ne sont pas neutres : ce sont des étiquettes politiques. Les imposer aux journalistes, c’est exiger qu’ils deviennent des militants. Est-ce cela qu’on veut ? Des rédactions transformées en relais de propagande ? Non, merci. Le rôle des journalistes est d’informer, pas de valider les narratifs d’un camp au détriment de l’autre.

                          La victimisation permanente : une stratégie bien rodée
                          On entend sans cesse que les Palestiniens sont “invisibilisés”. Pourtant, dès qu’un conflit éclate, les images des destructions à Gaza inondent les écrans. Les ONG, les porte-parole, les manifestants pro-palestiniens sont omniprésents. En vérité, ce que certains reprochent aux médias, ce n’est pas d’ignorer les Palestiniens, mais de ne pas adopter leur vision du conflit, sans nuance ni contradiction. C’est une exigence de partialité maquillée en revendication de justice.

                          Et que dire des accusations de “pression des lobbys” ?
                          Sous-entendre qu’il existerait une sorte de main invisible pro-israélienne qui dicterait les choix éditoriaux est non seulement une idée dangereuse, mais elle flirte avec des relents complotistes nauséabonds. Ce genre de discours alimente les fantasmes les plus toxiques sur les médias et sur les Juifs, et ceux qui les répètent devraient s’interroger sur les implications de leurs propos.

                          Une guerre de l’information qui refuse toute complexité
                          Le fond du problème, c’est que les militants pro-palestiniens les plus radicaux ne supportent pas qu’on parle aussi des victimes israéliennes, qu’on condamne les attaques terroristes du Hamas, ou qu’on rappelle que ce conflit ne se résume pas à une lutte de “bons” contre “méchants”. Ils veulent un récit manichéen, binaire, où Israël est toujours l’oppresseur et les Palestiniens toujours les victimes absolues. Les médias, eux, essaient – imparfaitement – de naviguer dans cette complexité. C’est leur devoir, et ils ont raison de le faire.

                          En résumé : non, les médias français ne sont pas pro-israéliens. Non, ils ne censurent pas les voix palestiniennes. Et non, ils n’ont pas à plier face à la pression d’un camp qui veut imposer sa grille de lecture idéologique comme la seule légitime. Défendre l’exigence de rigueur, de nuance et de pluralisme, ce n’est pas de la soumission à un lobby : c’est du journalisme.

                          kimo Faudrait mettre le prompt aussi avant le flood qu'on rigole

                          • kimo a répondu à ça.