Quelques commentaires:
On prend vos suggestions volontier.
Pour que ça marche il faut que ça reste correct: un expert un marketing doit avoir envie de l'afficher à côté d'une politique éthique groupe pour être à arme égale.
Le petit couplet sur le caractère compétitif est lié au fait que dans certaines contrées il peut se passer de temps en temps des débarquement d'ado / jeunes adultes en minibus avec lycras fluos shootés par le coach en mode training perf.
Si vous êtes à 3 au peak et qu'ils arrivent à 8 ou 16 ça vous fera une expérience (je ne l'ai pas vécu depuis longtemps).
(que les jeunes soient coachés/shootés pour sortir du lot on a à priori rien contre, si c'est ce qu'ils veulent).
Zones sans aucuns business sur des km + maîtrise des zones avec prio au free surfer + plages divisés + quotas de BE et licences annuelles et ce serait déjà un grand progrès.
En revanche on ne pourra pas maîtrisé l'effet emballement lié au business anarchique des 20 dernières années.
Pour la question de l’existence ou non des écoles ou business, ça peut être positif dans certains cas : jeunes, handicapés, autistes, dépressifs, personnes en sevrage, petite délinquance...
Le problème c'est qu'il y a aucune gestion, ce qui provoque cet écœurement.
L'accès PMR devrait être un critère pour les écoles.
Effectivement, les écoles ne gardent pas les élèves avec de l'eau aux genoux. Si c'est pas violent, ils montent avec le BE sourire en coins qui fait des AR en planches mousse pour "montrer comment faire" et bing +9 sur la vague.
Le tout avec l’innocence du "je comprends pas pourquoi on ne m'aime pas, je suis juste un passionné",
généralement au milieu du flat estival quand on a tous faim,
la cata il faut que ça bouge, envoyez nous des remarques, réécrivez, supprimez: on étudiera
Le projet mettra probablement des années à devenir mature, dommage on a 20 de retard.