greenwood fini.
C’est génial. Y’a tant de trouvailles formelles.
Du cul Malsain. Une fin WTF.
Superbe.
J’ai trouvé dans un article un néologisme qui résume bien : la tenseur, tension et lenteur.
Y’a des traveling fous. Des combats perchés de chez perchés.
Il reprends une partie des casting de la trilogie Pusher et Copenhagen est une métaphore de toute son œuvre, des petits polars nerveux aux abstractions formelles magnifiques.