pezronf mais non, à l’époque c’était des vins encore abordables pour des petits bourgeois qui avaient le flair. En tout cas pas achetés pour la spéculation, c’était un vrai amateur de pinard.
Et il restait plus grand chose dans la cave. Souvenir ému d’un figeac, à point mur, deuxième meilleur vin goûté âpres le Yquem.
Le reste de la cave, ma grand mère cette angoissée sortait des bouteilles de son placard qu’elle avait planqué. Tout était maderisé, meursault, savennieres, etc…