kimo
La Septième Obsession
par David Ezan
En résulte non seulement un film grandiose, mais aussi la matrice d’un cinéma aux potentialités renouvelées.
ahahha non mais ils sont serieux? ou c'est la course adolescente à la radicalité formelle?
"L'impression constante que le réalisateur joue avec mes nerfs, qu'il se moque complètement de mon plaisir et qu'il n'est conduit que par les errances de son imagination souffreteuse." j'ai ressenti ça
ceci dit sous codeine ça doit le faire, parceque j'ai pas non plus detesté, mais il se fout de notre gueule avec ses longueurs...je suis meme pret à excuser le secenario sans queue ni tete