Santé pas des pieds
Et pour moi je ne voyais pas le problème d un point de vue politique mais d un point de vue sanitaire.
None la vie n'est qu une suite de choix entre le moins pire
C’est pour cela que l’on a inventé des trucs un peu relous comme l’éthique, ou la déontologie. Bon ça se perd, on préfère le pragmatisme froid, c’est plus simple et ça évite de réfléchir et de se tromper en voulant bien faire.
Que les mesures aient été par moment débiles soit, que le pouvoir ait joué de la crise pour ses intérêts, aucun doute, maintenant dire que 160000 vies ça vaut pas le coup, regarde toi dans un miroir et répète cette phrase.
Tu imagines si les archis qui construisent un hôpital, disaient « Ça fait chier, la sécurité sur le chantier ça coûte cher, alors que vaut la vie de quelques ouvriers alors qu’on va sauver plein de vies ! »
Bref vous perdez le fil les mecs.
Et sinon pour l'aiguillage du tram, on choisi de tuer le vieux ou de tuer le gros ?
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Mwana
Je te pensais plus inclusif.
pezronf oui oui il est évident que c est lui que je vise et pas les golfeurs qui traitent les jeunes de feignants...
Oui, mais les Bourges ne sont pas au cœur du problème, ils sont là et étaient là auparavant. Le problème est que les rétributions de merde du travail sont tellement minables qu’elles sont inférieures aux pensions des retraités qui ont cotisé et n’ont rien de faramineux.
La responsabilité de ce merdier revient à la captation des revenus du travail par le système financier et l’incapacité des gvmt à éviter cette hémorragie.
Après les vieux sont des cons, ils l’étaient jeunes, je ne vois aucune raison valable pour que la trajectoire change.
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yoto mais les Bourges ne sont pas au cœur du problème, ils sont là et étaient là auparavant.
Si, ils sont le problème. Car ils sont de plus en plus riches, les inégalités se creusent, ils ne payent pas (plus) assez d'impot et les gouvernants sont exclusivement à leur service.
Les études sur la fiscalité montrent bien que les impôts sur les plus riches, sur le capital et sur les profits des entreprises étaient beaucoup plus élevés autrefois (y compris aux USA!!) et la richesse, donc, mieux redistribuée (cf Piketty). Et puis les années 80 sont arrivés, il fallait libérer tout ça, cajoler les riches, que ça ruisselle..
L'impôt ne fait pas tout, bien sûr, mais nous arrivons à un point de rupture. Toi qui adore la morale et l'éthique, tu devrais comprendre qu'il devient intenable de demander toujours plus d'efforts aux uns et strictement rien aux autres, voire encore moins aux autres. Or, entre autres, une partie significatives des retraités sont très clairement privilégiés.
Par ailleurs, tu vis au pays des Bisounours: bien sûr que les bourges savent défendre leurs intérêts, ils sont très forts pour cela. Le pouvoir est dans les 16e et 7e arrondissements (et quelques autres quartiers), ces gens-là ne lâcheront jamais rien, ils ont des relais extrêmement puissants, et ils savent se défendre. Le pouvoir est désormais à leur service, plus que jamais.
La grande bourgeoisie est la dernière des classes sociales, la dernière qui a conscience de son unité et la dernière à lutter pour défendre ses droits et privilèges:
http://uneheuredepeine.blogspot.com/2007/10/la-dernire-des-classes-sociales-1.html
http://uneheuredepeine.blogspot.com/2007/10/la-dernire-des-classes-sociales-2.html
Mais alors pourquoi cette classe sociale n’apparaît pas plus clairement dans la presse ou dans les discours politiques ? Pourquoi les partis politiques et les syndicats ne se concentrent-ils pas sur une telle cible ? Et pourquoi les seuls journalistes qui en parlent le font sous l’angle de l’exotisme, présentant la grande bourgeoisie comme une population étrange et fascinante, comme on présenterait une société primitive ?
C’est que la classe bourgeoise est une classe mobilisée, capable de cacher son pouvoir derrière un discours idéologique mettant en avant l’individualisme et la réussite personnelle, tandis qu’elle met en place pour elle-même un collectivisme pratique.
Dans cette perspective, que retiennent Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, la grande bourgeoisie constitue une classe en soi et pour soi. Elle est une classe en soi car elle tire essentiellement ses revenus d’une plus-value prélevée sur le travail, grâce à sa possession du capital.
Mais elle est également une classe pour soi, qui se mobilise pour défendre ses intérêts et ses avantages
Tout ceci donne à voir un collectivisme pratique : la bourgeoisie défend ses intérêts par la mobilisation de chacun pour l’intérêt du groupe. La conscience de ces intérêts apparaît par exemple dans le « niveau de lucidité dont le cynisme étonne » qui accompagne la quête de l’entre-soi.
« Que ce soit dans les beaux quartiers, dans les écoles, dans les cercles ou dans les conseils d’administration, la conscience des limites du groupe s’affiche sans retenue » [5]
Pourtant, la grande bourgeoisie affiche par ailleurs une idéologie renvoyant largement à l’individualisme. La référence au marché, à la compétition, à la concurrence est récurrente dans les discours – ce n’est pas l’ancien « patron des patrons » qui me contredira.
Cette idéologie a un intérêt pratique : celui de légitimer la richesse par le bien d’une naturalisation de l’excellence sociale.
Bref, personnellement, je pense qu'il faut commencer par pendre ces gens-là par les tripes. A fortiori s'ils sont vieux et avec des vestes matelassées.
Incroyable que les gens ne voient pas que ces inégalités sont un gouffre vers l autorisme...les biens heureux ne le voient pas, ils vont bien
Bisous les pigeons!
L’énergie selon Jordan Bardella : plus chère, plus polluante, moins souveraine
Les mesures proposées par le Rassemblement national laissent entrevoir un « cauchemar énergétique » plutôt qu’un paradis : des factures d’énergie plus élevées pour les Français, des émissions de gaz à effet de serre en hausse, et une dépendance plus grande aux importations.
On parle des ultras riches (les grands bourgeois) , pas des vétérinaires sans prostate, ou on les inclus également dans la purge ?
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Donc on est en droit d’y inclure les professeurs d’université ?
Nota nous sommes d’accord, je vois les Bourges comme les gagnants d’un libéralisme financier, dont ils usent, toi tu les voient comme les auteurs de ce montage, mais ça revient à peu près au même.
Le point de départ de cette paupérisation a été la volonté de Sarko d’une « France de propriétaires , ce qui a permis aux banques de s’empiffrer sur une augmentation de l’immobilier totalement déconnectée des revenus et des usages, mais sur des bases spéculatives. Là la classe moyenne s’est fait enfler avec une force !
sachant que leurs revenus ont chuté de 30 % depuis le milieu des années 80, avec une accélération brutale récemment, et que le gouvernement leur crache à la gueule depuis pas mal d'années (des islamo-gauchistes, toussa), je pense qu'ils font clairement partie des perdants.
Mais on peut y inclure les vieux qui sont propriétaires en centre-ville.
yoto il fait comparer ce qui est comparable . La securité d in chantier si on ne la respecte c est pour un problème d argent. La je parle de quelques chose de différents .
Pour le coup pour 160 000 personne qui ont eté "sauvé" combien sont morte faute de soin adapté ? Combien garde des stigmates psychologique et psychoatrique? Combien sont mort dans une souffrance et une solitude extrême?
D autant que les personnes qui ont été "sauvé"sont pour la plupart des personnes qui étaient très agés et poly pathologiques . Et qui sont pour la plupart mortes depuis . Du coup pour moi le chiffres est fallacieux
Ce qu'on devrait c est combien d'années de vie en bonne santés gagné versus combien d'année de vie en bonne santé perdues.