Merci à @Vespa et à l'ami de @PetitBouchon pour les infos, je vais pouvoir en parler à un ami à moi. Il se trouve que cet ami affectionne particulièrement les trajets en train et donc ne pourrait pas y aller avec sa planche, vous avez pu voir ce qui se loue sur place?
Les piscines à vagues, c'est pas si cher !
Mutley Beaucoup voire énormément de choix avec des planches de marque. Perf ou pas d’ailleurs
Le plus simple un coup de fil ?
Toujours d’après lui
Lol ça doit être ignoble les tarifs
- Modifié
Mutley tu peux changer de planche en cours de session aussi
PetitBouchon moyennant surcout j'espère.
Je comprends même pas que le récit de PetitBouchon ait pu faire des émules
c'est combien ,la location d'un leash en 6' pour un shortboard ?
pipoinzaghi2
Tient j ai reçu mon leash Ali Express...Big UP aux pigeons qui achètent encore ça a 39€ au surf shop
pezronf y'en a intersport Bisca pour 19$99 , du FCS ///
Serait-ce le début de la foire..
Mon pote qui a pris une board dans la gueule a eu un pote a lui qui a fait une hémorragie interne sur une boîte dans un shorebreak vener oO
ça rentre fort au Bangladesh,
Je pose ça là:
Le chantier d’une piscine à vagues artificielles, près de Bordeaux, a pris l’eau après la mobilisation d’associations écologiques. C’est par une campagne sur les réseaux sociaux défendant précisément la dimension environnementale du concept que ses promoteurs, amoureux de surf, ont choisi de riposter.
Le projet semblait presque condamné. Dans le collimateur des associations de protection de l’environnement, les promoteurs du surfpark, à Canéjan, en Gironde, s’étaient murés depuis des mois dans le silence. Il y a eu des tags inscrits sur les murs du futur bâtiment. Des insultes, des menaces envoyées sur Instagram. Deux associations écologiques, Sepanso Gironde et Surfrider Foundation, ont saisi la justice pour faire annuler le permis de construire accordé au mois de février. Une pétition lancée par un collectif de citoyens a récolté plus de 60 000 signatures.
Les opposants ont dénoncé la quantité d’eau nécessaire : 20 000 mètres cubes, soit l’équivalent de huit piscines olympiques, répartis sur deux bassins découverts de 13 000 mètres carrés. L’autosuffisance en eau, par le biais de récupérateurs d’eau de pluie, serait en outre un défi impossible à tenir, la quantité récupérée étant surestimée. Les associations craignent enfin les rejets potentiels des vidanges et eaux usées dans la rivière l’Eau Bourde, située à moins de 250 mètres en contrebas du surfpark.
En attendant un dénouement judiciaire, le chantier, qui doit être finalisé en 2025, est à l’arrêt.