Notez bien que c’est bien délicat de trouver un prenom. Enfin deux. Surtout quand t’arrives après la bataille et que tout ceux qui pourraient le faire sont déjà pris, proche famille, proche amis.
Relou…
J’adorais tellement Jean-Kevin que j’ai bien envie d’en appeler un Jean et l’autre Kevin et de voir celui qui va s’en sortir le mieux dans la vie. Mais bon paraît qu’on peut pas trop faire des études socio avec ses propres gosses.
Relou…