Résumé, les festivités sur la Seine c’était naze, et/ou très mal filmé. Daphné Burki ne doit pas s’approcher de près ou de loin de tout ce qui ressemble de près ou de loin à de la scénographie. Elle nous a servie avec une intention pachydermique ses curiosités du moment et autant je suis pour l’audace, mais la c’était aussi convenu dans l’outrance qu’une pub Carglass dans la niaiserie. Les seuls trucs biens, Gojira, Katherine, et un peu les danseurs electro, la cène déconstruite, sur une scène au-dessus de la Seine ça m’a gonflé car c’était moche et bricolé (donc contre productif). J’ai fais une crise d’épilepsie en regardant les montages subliminaux de l’historique des JO.
Grand coup de retour salutaire aux basiques, ou alors entrée en scène des pros de ce genre de mise scène à partir du Troca. Tour Eiffel bien mise en valeur, jolis derniers passages de relais, le chaudron est cool, et Céline a posé ses couilles.
Voilà à vous les studios