Il y a des endroits qui ne nous demandent rien.
Pas d’être plus sages, plus confiants, plus guéris.
Juste d’être là.
Bali m’a accueillie comme ça.
Pas avec fracas.
Avec cette douceur discrète des lieux qui nous reconnaissent… avant même qu’on y pose les pieds.
Et moi, pour la première fois,
je n’ai pas eu envie de repartir.
Pas tout de suite.
Peut-être pas du tout.
J’ai cessé de courir après un ailleurs.
Et j’ai commencé à créer des espaces ici.
Des retraites pour celles et ceux qui ne cherchent plus à changer,
mais à célébrer ce qu’ils sont devenus.
À déposer les armes.
À respirer autrement.
Je ne comptais pas en reparler ici.
Mais il reste une seule place pour août.
Et je me dis que parfois,
ça peut être ce genre de post, vu un peu par hasard,
qui change tout.
Parfois il suffit d’un mot,
d’un signe,
d’un frisson dans le ventre,
pour dire oui à ce que notre cœur savait déjà.
Alors voilà.
Je laisse ça là.
Comme une invitation.
Ou une évidence.
Et si ça t’appelle, tu sauras 🌺
Bordel!!! 😂😂😂😂